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La culture populaire nous a habitué à envisager des avenirs utopiques et dystopiques des relations entre humains et machines, la plupart explorant des dichotomies tels que l’amour et la haine, la fascination et le rejet, le désir et la peur de l’autre-machine qui bouleverse la condition de l’être humain

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Hiroshi Ishiguro, roboticien japonais, et son Geminoid HI-4 (2016). Silicone, cheveux et lunettes font illusion jusqu’à ce que la machine s’anime et montre ses expressions faciales imparfaites.

Le clip illustre le déraillement de la société telle qu’on la connaît aujourd’hui à la suite d’une rébellion de robots dotés d’intelligence artificielle . C’est un court-métrage sous forme de collage animé qui a été utilisé pour illustrer de façon très littérale le propos dystopique de la chanson.

Cette installation explore la capacité des robots à jouer un rôle. Le diptyque est composé de deux scènes : dans la première, un robot arachnéen joue “au vivant”, dans la seconde, un robot similaire joue “au mort”. Les scènes explorent la métamorphose des états des deux robots : de l’inanimé au vivant, puis au mort.

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